Dans l'ancien HIPFORUM, j'avais ouvert un thread avec des pensées positives, alors je vais continuer à vous en faire profiter dans ce nouveau forum. La soupe de cailloux Pendant une grande famine du moyen-âge, un homme arriva dans un petit village. On lui dit "Passez votre chemin, Monsieur il n'y a rien à manger ici". Les habitants cachaient leurs réserves de nourriture et ne voulaient pas les partager. "Oh mais je ne demande rien à manger, j'invite tous ceux qui le veulent à manger de la bonne soupe ce soir". Et, joignant le geste à la parole, il découvrit un grand chaudron. Il demanda un coup de main pour le sortir de son chariot. Il était incroyablement lourd. "Il y a tout ce qu'il faut là-dedans dit-il, j'ai juste besoin d'eau". On lui apporta de l'eau et il l'installa au-dessus d'un grand feu. La nouvelle fit bientôt le tour du village. Tout le monde regardait de derrière sa fenêtre. L'homme demanda: "Savez-vous qui pourrait nous donner un peu de choux? C'est tellement meilleur avec des choux!" Un jardinier s'avanca: il avait un choux qu'il avait caché. Il le donna volontiers pour avoir autant de soupe qu'il en voulait. "Maintenant, si nous avions un morceau de boeuf salé, cela ferait une soupe de roi!" Le boucher s'exécuta, trouvant un morceau de boeuf salé qu'il avait dans sa réserve. Oignons, patates, carottes, champignons... il continua à "améliorer" ainsi sa soupe magique. Quand vint l'heure de la déguster, elle était délicieuse et tout le monde en eut le ventre plein. Et l'homme passa au village suivant... .............................................. Morale de l'histoire? Ce que l'on ne peut pas faire seul, on peut le réaliser à plusieurs. Et en participant, en partageant ce qu'on a avec les autres, loin de s'appauvrir, on s'enrichit.
Ohhhhh...c'est une jolie histoire mon joli rainbeau, moi, je me suis dis c'est beau ce partage, et en plus ils ont nourris un étranger qui avait faim...Natch m'a dis : "c'est surtout un malin qui a réussi à se remplir le ventre..." Tu le connais, toujours le mot pour rire
Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus, blancs, noirs, jaunes... Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui. "Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut que les autres ?" Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit : "Regarde" Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent, montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement ils sont hauts. "Tu as vu ?" "Oui" "Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les autres ?" "Oui Monsieur" "Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes. L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur. Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a en toi qui fera toute la différence dans ta vie."
j'aime beaucoup ce histoire PS: Excuse the lack of thought put into my posts here on the French board... My French is a little rough right now
It's a pity that your French is not good, but the main thing is that you can understand the history hi hi hi!!! I hope that my English is nevertheless comprehensible! kiss !
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route. Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable. Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser." "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?" "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée. Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin". Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses." Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes. Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous ! Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste. Merci d'apprécier amicalement mes imperfections - et, plus important pour vous - d'apprendre à aimer les vôtres !!!
ahhhhhhhhh moi aussi je la connaissais. Tu crois mon Ange que Miron est un abonné du club positif aussi? hi hi hi Mais c'est vrai que ça fait du bien de la relire. Om, paix !
Euuuuuuuuuh vi je crois bien que vi !!! mais tant mieux, c'est trop chouette de relire toutes ces jolies histoires...allez, j'en mets une Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris. Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils preparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment. Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?" "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi." L'Amour decida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau." La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, "Tristesse, laisse-moi venir avec toi." "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !" Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler ! Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi." C'etait un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla. L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir "Qui m'a aidé ?" "C'était le Temps" repondit le Savoir. "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour. "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?" Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit : "C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie." (Histoire proposée par Christian Boucher)
Trop trop mignonne ton histoire Babayaga !! ça vien de me mettre du baume au Coeur ! J'avais quelques histoires difficiles dans ma tête , mais la ça a fait place a un sourire naturel et serein ! Merci !! I LOVE YOU RAINBOW PEOPLE !!! Tendre Bisous ...
Oh quelle magnifique histoire, je l'ai adoré! Je vais la traduire et la faire lire à Nick, il va surement adorer lui aussi... L'Amour est le plus beau sentiment du monde
Mes amis et moi préférons ce livre: Le Clan des Femmes Sauvages de Emmanuel Yves Monin Au moins, ce n'est pas un plagiat où beaucoup de choses sont piquées au Petit Prince et à Castaneda et ce n'est pas non plus un égo-trip. C'est la Communauté Humaine ! http://e.y.monin.free.fr/
Il s'agit de quoi dans cette livre Rainbowgirl?son nom me rapelle quelque chose d'archaique...c'est ca ce qui est la-dedans?
Chère Mustalindu, Ce livre n'est pas arch-aïque. Il parle d'arch-étypes. Il parle de Femmes Sauvages, pas seulement dans l'histoire, mais bien aujourd'hui car les Femmes Sauvages perdurent à travers les temps... Je suis même sûre que certaines viennent sur ce hipforums, n'est-ce pas ?
ba oui Rainbowgirl....comme partout dans le monde.Parfois faut terriblement cherecher,car elles sont cachees,mais parfois sont si visibles que c'est effrayant.....comme les hommes-sorciers
Ah oui, ce livre a l'air bien, j'adorerais le lire !!! Rainbowgirl, est-ce que tu trouves que "L'alchimiste", c'est copier sur "Le Petit Prince", à part que les deux héros se retrouvent dans le désert, je vois pas grand chose, moi. Et le désert est tellement vaste...