Bon sujet Personnellement je me considère comme étant une féministe. Je ne pense pas qu'il faille ici débattre sur l'égalité femmes/hommes, si certains doutent de cette égalité ils doivent s'être trompés de forum! Le problème est plus la mise en pratique de l'égalité, vu que dans les moeurs c'est quelque chose d'assez récent tout de même. Mais je suis confiante, je pense sincèrement qu'un jour, dans quelques décennies, les femmes seront réellement à l'égal des hommes; il faut juste laisser du temps aux préjugés pour qu'ils s'effacent. Plus tard j'envisage même de militer pour les femmes tellement je suis dégoûtée en sachant comment certaines "vivent"... Ce qui me dérange pourtant, c'est le regard que beaucoup de monde pose sur le féminisme et surtout sur les féministes, comme si nous étions toutes ou tous des sauvages, des hystériques, des emmerdeuses ou emmerdeurs ou pire, des sexistes contre les hommes! Alors que pas du tout, il ne faut jamais mettre tout le monde dans le même sac, la plupart des féministes luttent pacifiquement, et heureusement! Je vous laisse la parole car je crois que je pourrais parler pendant des heures sur ce sujet!
Je entièrement d'accord avec tout ce que tu dis kro. Moi-même je me considère comme étant féministe, mais je n'aime pas les radicales, qui sont très sexistes et qui exagèrent (par exemple, elles, êtres à l'égalité des hommes ne les intéressent pas, ce qu'elles veulent c'est être supérieures... et ça, ça ne me plait pas) Mais si les femmes sont presque à l'égal des hommes de nos jours dans les pays occidentaux (surtout dans les pays nordiques comme la Suède ou le Danemark), je suis effondrée de voir comment elle sont traitées dans le reste du monde, en particulier dans les pays musulmans extrémistes. C'est une horreur, et le pire c'est que la plupart d'entre elles pensent que c'est normal!!
C'est vrais que nous on sait ce qui est bien pour elles et pas... On fait bien de financer des chaînes radio et télé pour promouvoire en arabe la liberté féminine et du même coup, les produits cosmétiques, la haute couture, et l'industrie de la beauté version spice girls. Je crois plutôt que qu'il n'y a pas d'"égalité" en tant que telle dans la nature, autant entre les hommes et les femmes qu'entre les costauds et les agiles, les acrobates, les malhonnêtes ou les maladroits. En plus, la différence entre les sexes relève, (au choix) d'un shéma évolutif, d'une biologie, ou d'une énergie cosmique différentes. La culture et les moeurs ne sont que la pointe de l'iceberg, mais pour retrouver l'être androgyne primal, il faut remonter des univers de génétique, de conditionnement millénaire, de division des pôles yin/yang et de tout ce qui crée notre monde perceptible. On peut comprendre que les créatures androgyne culturelles à la Micheal Jacson ne vont pas attirer des peuples historique spirituels et tribaux comme la plupart des habitants des pays arabes, surtout lorsqu'ils se font affamer et massacrer en même temps. C'est surtout à cause de cela qu'ils se réfugient dans l'oppression de leur côté féminin, en visant le vulnérable. Au lieu d'essayer de chercher ou d'imposer par le lavage de cerveaux, la propagante ou la chirurgie non nécéssaire une égalité mâle/femelle qui n'existe presque plus dans la nature, nous pourrions nous attaquer à l'inégalité artificielle et destructrice entre les peuples repus et les peuples affamés. Fournir l'eau, le grain, et les livres au lieu de fournir les armes dans une main et les revues "Femmes Plus" dans l'autre main. Laisser libre ne veut pas dire imposer notre conception de la liberté. Mais bon. À moins de même trompé de forum (sic), je peux ne pas croire en l'égalité entre femmes et hommes, tout en reconnaissant qu'il peut y avoir une différence sans que ce soit ni supériorité, ni infériorité. Vous allez me dire que je joue sur les mots, mais dans la nature, les hormones femelles et mâles ne sont pas égales, elles sont différentes. Et complémentaires. Et amoureuses, je crois bien. Qu'on milite pour quoi que ce soit, allons-y dans l'amour, et non dans la confrontation... om, paix
Oui, militer dans l'amour, et non dans la confrontation comme souvent cela se fait, et pas que dans le féminisme, malheureusement. Et idem, je n'aime pas les radicales (disons une certaine frange...) comme par exemple les chiennes de garde. Et aussi je n'aime pas celle qui voudrait remplacer le patriarcat contre le matriarcat. Ensuite, il ne sagit pas de militer pour l'égalité dans tous les domaines, car cela n'amènerais à rien, en cela je parle d'égalité physique, artistique, culturelle, etc.... non, je parle essentiellement tendre vers plus d'égalité économique et sociale, et plus concrètement l'égalité en droit. Comme ce fut à la gay pride ce WE (je n'y étais pas par contre), mais tendre vers l'égalité en droit pour les homosexuel(le)s, les transexuel(le)s et avoir les meme droits que les hétéros (comme si être hétéro était la norme, et que ça les rendait supérieurs aux autres). Mais plus que militer pour tendre vers ces droits, à nous de voir tout le monde à son égal: Hommes /femmes hommes / hommes femmes/ femmes Enfant/ vieux Hétéro/ homo/ trans ........ et de respecter son prochain, de l'aimer et de l'accepter comme il/elle est... Om, paix !
Je n'ai pu developper complètement mon idée lors de mon dernier message, car devant partir pour 2 jours. Je voulais rajouter que plus que militer (ce qui ne m'interesse plus), je préfère montrer l'exemple, en discuter un peu aussi. Se battre pour des droits, etc...... c'est très bien, mais ça reste de se battre pour Babylone. Hors, le mieux, pour les rainbows, hippies voir anars, c'est d'appliquer à soi -même ces idées, et de les mettre en pratique. DIRE, C'EST BIEN ! FAIRE, C'EST MIEUX ! Je m'efforce de me comporter le mieux possible avec les femmes (comme avec tout autre individu), ce qui ne veut pas dire que je suis parfait, mais j'essaie de tendre vers une relation qui soit la plus juste. Nous vivons dans une société patriarcale, et certains reflexes sont difficiles parfois pour les hommes de se débarasser du jour au lendemain. Je pense avoir parcouru un très bon chemin, car souvent les femmes me remercie de les respecter comme je le fais. C'est pourquoi il est bien qu'il y est des groupes féministes "hommes-hommes", "femmes-femmes" et mixtes, pour que chacun(e) refléchisse de son côté sur les améliorations à apporter de part et d'autres (car les femmes aussi doivent travailler sur leurs comportements), et ensuite se retrouver entre hommes et femmes pour voir ce qu'il peut y avoir de mieux. Je traite chaque individu comme mon égal. J'ai acquis ces comportements au fil des années, par le militantisme (ce qui n'est pas toujours négatif), mais surtout par la reflexion personnelle. Mais quand on est pour l'égalité entre hommes et femmes, on doit pouvoir chercher une égalité aussi dans d'autres domaines. Ainsi, je vois dans chaque personnes; enfants, vieux, gros, maigres, grands, nains, beaux, moches, athlètes, handicapés, blancs, noirs, jaunes, ...civilisés, sauvages, intelligents, illétrés, cultivés, ignorants, conscients, inconscients, etc....(à vous de rajouter les contraires)....chacun d'entre eux est un être humain, et on doit le même respect qu'à tout un chacun ! Et pour finir, on ne peut imposer notre vision de l'égalité à d'autres personnes, peuples, tribus indigènes, etc.... comme on ne peut le faire avec les termes de liberté, de démocratie, de justice......de bien et de mal (même si ça ne veut rien dire), car chacun(e) a ses propres notions, visions de ces termes. Et ça serait uniformiser le monde. On peut toutefois trouver un terrain d'entente, mais le mieux est, comme je l'ai déjà dit, d'appliquer à soi-même ce qu'on pense et de montrer l'exemple. J'espère qu'on aura bien tout compris ce que j'ai voulu exprimer. Je ne demande pas qu'on soit d'accord avec moi, mais je vois les choses de cette façon. Une idée, n'est pas quelque chose de figée, où on trouverais UNE solution. Une idée, ça se vit, et pour que ça vive, ça doit se développer, voir même la remettre régulièrement en question, pour éviter de se laisser aveugler par ses convictions. Je vous aime tou(te)s autant que vous étes ! Om, paix !
jivre, sushumna, bravo pour vos réponses! Elle m'ont tellement plu que je vais les imprimer et les garder dans mon cahier *special* Bon débat en tout cas... ça serait bien que tout le monde participe!
S'il y en a que ça interesse, vous pouvez recevoir le bulletin électronique de SOS Sexisme. Cela parle des luttes des femmes à travers le monde (textes en plusieurs langues) et aussi des atrocités qui sont commises à leurs encontre. Pour cela, s'inscrire sur leur site: http://www.sos-sexisme.org/ Peace!
Violences mâles Par Ignacio Ramonet Cela se passe en Europe. La violence exercée contre les femmes par un partenaire de sexe masculin y atteint des dimensions hallucinantes. Au sein du foyer, les brutalités sont devenues, pour les Européennes de 16 à 44 ans, la première cause d’invalidité et de mortalité avant même les accidents de la route ou le cancer... Selon les pays, entre le quart et la moitié des femmes sont victimes de sévices. Au Portugal, par exemple, 52,8 % des femmes déclarent avoir été l’objet de violences de la part de leur mari ou de leur concubin. En Allemagne, trois femmes sont assassinées tous les quatre jours par les hommes avec lesquels elles vivaient, soit près de 300 par an. Au Royaume-Uni, une femme est occise dans les mêmes circonstances tous les trois jours. En Espagne, une tous les quatre jours, près de 100 par an. En France, à cause des agressions masculines domestiques, six femmes meurent chaque mois – une tous les cinq jours –, un tiers d’entre elles poignardées, un autre tiers abattues par arme à feu, 20 % étranglées et 10 % rouées de coups jusqu’à la mort (1)... Dans l’ensemble des quinze Etats de l’Union européenne (avant l’élargissement à vingt-cinq), plus de 600 femmes meurent chaque année – presque deux par jour ! – sous les brutalités sexistes dans le cercle familial (2). Le profil de l’agresseur n’est pas toujours celui qu’on imagine. On a tendance à associer cette attitude meurtrière à des personnes peu éduquées, issues d’un milieu défavorisé. C’est une erreur. Le drame de Marie Trintignant, tuée le 6 août 2003 par son compagnon, artiste célèbre, en apporte une preuve. Un rapport du Conseil de l’Europe affirme que « l’incidence de la violence domestique semble même augmenter avec les revenus et le niveau d’instruction ». Il souligne que, aux Pays-Bas, « presque la moitié de tous les auteurs d’actes de violence à l’égard des femmes sont titulaires d’un diplôme universitaire (3) ». En France, selon les statistiques, l’agresseur est en majorité un homme bénéficiant par sa fonction professionnelle d’un certain pouvoir. On remarque une proportion très importante de cadres (67 %), de professionnels de la santé (25 %) et d’officiers de la police ou de l’armée (4). Une autre idée reçue consiste à penser que les violences de genre sont plus fréquentes dans les pays « machistes » du sud de l’Europe que dans les Etats du nord. Là encore, il faut pondérer. La Roumanie apparaît, certes, comme le pays européen où la violence domestique contre les femmes est la plus grave : chaque année, en moyenne, pour chaque million de Roumaines, 12,62 sont tuées par leurs partenaires masculins. Mais, dans le sinistre palmarès des pays les plus féminicides, immédiatement après la Roumanie se situent des pays dans lesquels, paradoxalement, les droits des femmes sont les mieux respectés, comme la Finlande, où tous les ans, pour chaque million de Finlandaises, 8,65 femmes sont tuées dans le huis clos domestique, suivie par la Norvège (6,58), le Luxembourg (5,56), le Danemark (5,42) et la Suède (4,59), l’Italie, l’Espagne et l’Irlande occupant les dernières places. Cela prouve que ces violences sont le fléau mondial le mieux partagé, qu’elles existent dans tous les pays, sur tous les continents et dans tous les groupes sociaux, économiques, religieux et culturels. Il arrive certes que des femmes soient elles-mêmes violentes dans leurs relations avec les hommes ; et on n’a pas attendu les images des tortures infligées par des soldates à des détenus masculins dans la prison Abou Ghraib, en Irak, pour savoir qu’il existe, hélas, des tortionnaires de sexe féminin (5). On pourrait aussi ajouter que les relations homosexuelles ne sont pas non plus exemptes de violence. Mais, dans l’immense majorité des cas, ce sont des femmes qui sont les principales victimes. Cette violence – sur laquelle les organisations féministes attirent depuis longtemps l’attention des gouvernants (6) – atteint, à l’échelle planétaire, un tel degré de virulence qu’il faut désormais la considérer comme une violation majeure des droits de la personne humaine, doublée d’un problème important de santé publique. Car il n’y a pas que les attaques physiques, aussi meurtrières soient-elles, il y a aussi les violences psychologiques, les menaces et intimidations, et les brutalités sexuelles. Dans de nombreux cas, d’ailleurs, toutes les agressions se cumulent. Le fait que ces violences se pratiquent au domicile de la victime a toujours été un prétexte pour que les autorités s’en lavent les mains et les qualifient de « problèmes relevant de la sphère privée ». Une telle attitude constitue un refus collectif d’assistance à personnes en danger. Une scandaleuse hypocrisie. Chacun sait que le privé aussi est politique. Et que ce type de violence est le reflet des relations de pouvoir historiquement inégales entre hommes et femmes. Dues en particulier au patriarcat, système fondé sur l’idée d’une « infériorité naturelle » des femmes et une « suprématie biologique » des hommes. C’est ce système qui engendre les violences. Et qu’il faut liquider par des lois appropriées. Certains objectent que cela prendra du temps. Alors pourquoi ne pas commencer tout de suite par instituer, comme des organisations féministes le réclament, un tribunal international permanent sur les violences faites aux femmes ? Ignacio Ramonet.
Je suis complètement d'accord avec vous tous. Moi non plus, je milite très peu, ponctuellement pour les sans papiers, je fais grève de temps en temps, j'envoie quelques lettres pour Amnesty... Mais je crois aussi que c'est par l'exemple, sans vouloir convaincre les autres, mais il y a toujours de la générosité dans chaque être. Ma fille écoute les tubes, il y a quelques temps , ça m'aurait fairt chier, mais j'aime bien danser avec elle quand elle m'y invite. C'esty son monde, et elle a envie de m'en offrir des petits bouts, et je ne vais pâs les refuser pour quelques thèses marxistes, militantes ou machin chose. J'ai trop fait chier les autres à vouloir les convaincre, je préfère civre bien, avoir une maison et un jardin accueillants, et , quand je fais le bilan de ce que je vis, ça me convient mieux. J'ai aussi lu l'article de Ramonet dans le Diplo de ce mois-ci. C'est effrayant, et ce n'est pas les réformes en cours qui vont enrayer ces fléaux.
Je crois que tu m'as mal comprise... quand je dis que les femmes et les hommes sont égaux, je ne veux pas dire par là qu'ils sont pareils, nuance. Oui, bien sûr que dans la nature nous sommes différents, et heureusement! Par ailleurs nous ne le sommes pas juste par le sexe, mais aussi et surtout par notre personnalité, nos opinions, notre physique etc. Quand je dis "égalité", j'entends par là que nous devons tous se respecter les uns et les autres, accepter nos différences sans justement en faire un motif de discrimination. Cela admet donc qu'aucun être humain n'est - et ne doit se considérer - supérieur à un autre, qu'il soit femme, homme, Noir, Blanc... Les femmes et les hommes sont égaux, mais tout en étant très différents, voilà! Exactement, on ne peut pas se dire pour l'égalité entre les Hommes si on applique pas ce principe à soi-même... pourtant beaucoup de personnes sont dans ce cas, ne font que parler mais dans les faits on voit bien que les beaux discours sur l'égalité ne sont pas appliqués... D'ailleurs cela ne doit pas s'adresser qu'aux hippies ou anars, mais à tout le monde. Faut faire des efforts chaque jour pour combattre l'intolérance, par exemple, j'ai appris à mon frère qu'il ne fallait pas insulter d'autres gens en les traitant de "PD" parce que ce n'est pas une insulte, que ce n'est pas mal d'être homosexuel. Depuis il a arrêté d'utiliser cette insulte (mais il continue toujours d'insulter certaines personnes, mais ça, je crois pas que j'arriverais à le faire changer!). Et c'est pareil pour d'autres cas, j'essaie de lui faire comprendre pourquoi il ne faut pas se moquer des autres parce qu'ils sont handicapés, parce qu'il les trouve pas beaux... mais c'est dur, il est tellement habitué aux moqueries et tellement influençable par la société et par ses copains que finalement, quand je ne suis pas là il continue de se moquer... Oui, ça serait dommage... parfois on est bien obligés de faire des compromis avec nos principes, si c'est pour faire plaisir à son enfant par exemple... Merci beaucoup Sushumna pour le lien, je me suis inscrite Merci aussi à toi Babayaga pour l'article, même si c'est pas gai c'est important que tout le monde soit au courant de ces choses là pour pouvoir les combattre.
Chaque existence est également précieuse (et essencielle à l'Univers). Là dessus, je vous suit. Par rapport à mon jeune frère je suis "supérieur" à la guitar, et lui m'est "supérieur" au tamtam. De manière statistique (les statistiques ne sont que des généralités, que beaucoup utilisent à tord et à travers, et les conclusions pratiques basées sur les statistiques sont presque tout le temps stupides et erronées, parce que basées sur la théorie des probabilités auquelle je ne crois pas, mais c'est pas une raison pour feindre de les ignorer), de manière statistique, disais-je, la majorité des "noirs" sont supérieurs à la course à la majorité des "blancs" ou des "jaunes". Les "jaunes" auraient en majorité un cerveau qui fonctionne différamment de la majorité des "blanc", et ça leur permettrait une concentration mentale beaucoup plus poussée. Je n'embarque pas dans les tabous actuels qui voudraient que pour palier (ou au lieu de palier) aux injustices de ce monde, il faudrait gommer les mots qui signifient des différences qui existent dans la nature. Les hommes ont E.M. (en majorité) 60% de muscle pour 40% de graisses. Les femmes E.M. 60% de graisses et 40% de muscle. Ceci parce que, bien avant le patriarcat, les hommes chasseurs devaient performer et les femmes devaient "toffer". D'un point de vue évolutif, c'est logique, car il faut plus de femmes que d'hommes pour faire une génération. Mais comment croire que la femme qui restait à l'abris, cueuillait et protégait les enfants était moins bien placée que les hommes qui mourraient, se faisait écorcher vif, gelaient, se battaient ou devaient être abandonné parce qu'infirme. Du point de vue du clan ou de la tribu, les femmes étaient plus précieuses que les hommes car elles donnaient la vie. L'individualisme est très récent. S'identifier par son opinion personelle plutôt que par son millieu, provient du déracinement des peuples (exode rural, etc) et de la mondialisation. Dans bien des cultures, la personnalité est même vue comme une illusion grotesque (l'égo) et l'éveil consiste à le laisser aller sans s'identifier. Ce que je cherche à dire, c'est que si les clichés sexués issus d'un processus évolutif de plus de 100 000 ans ont a disparaître un jour (ex: femmes E.M. plus émotives et hommes E.M. plus linéaires) il faudrait peut-être donner un peu de temps pour digérer le changement (s'offrir tous ensemble un avenir de 100 000 ans me semble la meilleure proposition). Je ne crois pas que des humains OGM, chirurgisés, ou orange-méchanisés, parce qu'on veut que ça aille plus vite, amènent un changement qui soit plus sain à long terme pour les relations femmes-hommes. Qu'il y a autant de femmes battues que d'hommes ou d'enfants. Que la violence familliale a toujours (ou plutôt souvant) des signes avant-coureurs, et que l'éducation et le goût de vivre mieux, la culture du bonheur, la volonté, peuvent désamorcer n'importe quelle chicane. Que lorsque Roger frappe Sonia, les "causes" peuvent être que Roger se fait humilier à sa job, qu'il boit trop, qu'il ne parle jamais, qu'ils ne font plus l'amour, que Sonia le méprise, que Sonia se méprise, qu'elle a mal à l'intérieur et l'extériorise de la sorte, que Sonia n'a plus d'espoir, etc. etc. etc. Si Roger quittait sa job, qu'il devenait végétarien, qu'il participait à des cercles de paroles, qu'il parlait à Sonia à propos de leur vie de couple, qu'ils faisaient l'amour, si Sonia règlait ses problêmes avec son "père intérieur", qu'elle faisait de l'Art, qu'elle cultivait l'espoir, cela ne se produirait plus. Dans le malheur, si les hommes E.M. ont plus l'instinct de frapper et les femmes E.M. l'instinct de crier ou pleurer, c'est peut-être parce que cela est intrinsèque et que les racines de ces différences sont très profondes. Et même si la différence n'était que culturelle, (ce que toute expérimentation à réfuté), demander à des milliards de personnes de renier leurs cultures pour embrasser l'univers post-moderne de l'individualisme libéral mondialisé n'est pas réalisable. Pas sans dictature technologique... Tandis que chaque personne est toute prète au bonheur! Coupons tout de suite les chaines de malheur et créons des chaînes de bonheur!! Ex: tout le monde est noir et triste dans l'autobus? Le plus noir et le plus triste vous bouscule? parlez-lui en souriant, dites-lui quelque chose de doux et de spontané, faites-lui une blague ou un compliment qui le fera sourire... C'est peut-être le collègue de Roger, et il sera moins méchant avec lui au travail. Offrez des fruits dans la rue! Faites des lectures de poèmes ou des chansons sur la place publique! invitez cette ancienne amie qui ne vous parle plus depuis longtemps à cause qu'elle est "rentrée dans le système". C'est peut-être Sonia! Ou bien, allez-y, ou par un don, aidez le projet de votre voisine qui veut partir en Afrique aider les femmes d'un village à jardiner ou enseigner aux enfants. On a tant à s'apprendre mutuellement! Mettre Roger en prison n'est pas une solution du tout, et de toute façon, si on ne prépare pas l'âge de paix qui peut arriver très bientôt, dès à la source, parce qu'on est concentré à punir les coupables ou à militer chacun au cas par cas, on n'en a pas pour cent ans à vivre dans ce régime qui dénature la planète. C'est UNE solution pour TOUS les "problèmes". l'AMOUR l'AMOUR l'AMOUR Je vous aimes!
En passant, je suis tout maigre et pas violent pour un sou. Mon père à été élevé par sa mère et est doux comme un agneaux. À 12 ans, je me faisait battre à l'école. Le problème de la violence n'est pas de punir les coupable ou de victimiser les victimes. La violence est une relation auquelle les deux participent. Voilà, c'est lâché! Dans la paix et l'amour! jv
Je n'aime pas les gens sexistes en général. Je belive que les femmes et les hommes devraient être bien traités. Feminisom a aidé du alot de femmes dans le passé, il leur a donné de nouveaux choix dans la vie qu'ils n'avaient jamais avant. Je belive qui si deux gens ont experiance pareil et font le travail exact pareil alors ils devrait obtenir le salaire pareil sans tenir compte de leur sexe. Je considère m'être féministe parce que je belive que les femmes devraient être traitées un morceau mieux dans la société, pas mieux alors les hommes mais leur égale, et aux temps actuels dans beaucoup de parties des hommes de monde sont calme a pensé de comme le sexe de supirior. En général tous gens devraient être traités avec la bienveillance et le respect pareils, sans tenir compte du sexe, preferance sexuel, la course, la religion, natinality, ou n'importe quoi aime d'autre cela. Je regrette que mon français n'est pas cela bon. Je l'ai étudié à l'école, mais j'ai toujours très loin pour aller avant que je le sois meilleur en.