Bonjour. Pour ma classe de francais, il faudrait qu'on ecrive une poème apropos de la guerre...ici, je veux savoir si vous l'aimez ou non...Si non, pas de problème, mais svp disez-moi pourqoui vous ne l'avez pas aimée oh, et la francais, si vous ne pouvez pas voir, est ma deuxième langue, alors, merci et m'excusez pour des erreurs et tout ca Guerre/Guerra/Krieg/War/Oorlog/война/Krig/Válka/Chiếntranh/Savaş/Război Si on peut l'arrêter cette infection de nos coeurs, On peut la jeter; il cause trop de blessures. Il y avait longtemps qu'on l'acceptait comme la norme. Même qu'il fasse des romps, l'occident ne changera pas de forme Si vous cherchez dans les humaines une raison pour ce nonchalance Est-on plein de l'haine? Notre défaut est insouciance? Il faut croire que c'est la société, les individus n'ont pas de pouvoir. Mais on la créait. Les espoirs des âmes peuvent-ils prévaloir? La paix est maintenant un désir pour un jour qu'on voit trop loin dans le futur. Quand la terre ne pleurera pas, et la raison d'être est pure Aujourd'hui ce n'est pas le cas, Mais demain? C'est possible, chuis sûr.
Moi j'aime ca......oh mon dieux ....ca fait presque dix-huite ans que j'ecrit quelque chose en francais...c'est dificile a pensee a quoi les mots de utiliser. J'espere que tu as us des evaluations elevees?..Tu prends des etudes durants les temps de vacances d'ete?
Je ne comprende pas, mais c'est a cause de francais de moi, c'est mon deuxieme langue.. Je voudrais un personne qui as MSN, o E-mail parler avec moi alors J'apprends Francais Desole de tout le erreurs
C'est un trés beau poème, drew72. Il y a quelques fautes, mais la langue française est trés compliquée ! Alors je te donne tout mon respect ! ^^
Beau poème, depuis combien de temps tu apprends le français ? Je viens du Québec donc je connais déja bien le français. Bonne chance avec ton cours.
Pas mal du tout. Il y a quelques points à corriger: "...elle cause trop de blessures." "...même qu'il fasse des romps..." je ne comprend pas. Tu veux dire "des ronds" (slang for money) ou "des ruptures"? et enfin "je suis sûr" ou "j'suis sûr" Ce sont de petits détails. Accroche toi...
"des ruptures", ca c'est plus mieux que le mot que j'ai choisi...mais, à la fin, c'était supposé d'être "chuis sûr", pas "je suis"....c'est un peu d'argot québecoise. Merci pour des commentaires
Oui, je vois. Il n'est peut être pas nécéssaire d'employer une forme aussi idiomatique dans un poème, à moins que ce soit une citation, mais c'est ton poème, à toi de décider. A propos tu connais probablement le poème de Victo Hugo sur le même sujet: Depuis six millans la guerre: Depuis six mille ans la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs. Les conseils du ciel immense, Du lys pur, du nid doré, N'ôtent aucune démence Du coeur de l'homme effaré. Les carnages, les victoires, Voilà notre grand amour ; Et les multitudes noires Ont pour grelot le tambour. La gloire, sous ses chimères Et sous ses chars triomphants, Met toutes les pauvres mères Et tous les petits enfants. Notre bonheur est farouche ; C'est de dire : Allons ! mourons ! Et c'est d'avoir à la bouche La salive des clairons. L'acier luit, les bivouacs fument ; Pâles, nous nous déchaînons ; Les sombres âmes s'allument Aux lumières des canons. Et cela pour des altesses Qui, vous à peine enterrés, Se feront des politesses Pendant que vous pourrirez, Et que, dans le champ funeste, Les chacals et les oiseaux, Hideux, iront voir s'il reste De la chair après vos os ! Aucun peuple ne tolère Qu'un autre vive à côté ; Et l'on souffle la colère Dans notre imbécillité. C'est un Russe ! Égorge, assomme. Un Croate ! Feu roulant. C'est juste. Pourquoi cet homme Avait-il un habit blanc ? Celui-ci, je le supprime Et m'en vais, le coeur serein, Puisqu'il a commis le crime De naître à droite du Rhin. Rosbach ! Waterloo ! Vengeance ! L'homme, ivre d'un affreux bruit, N'a plus d'autre intelligence Que le massacre et la nuit. On pourrait boire aux fontaines, Prier dans l'ombre à genoux, Aimer, songer sous les chênes ; Tuer son frère est plus doux. On se hache, on se harponne, On court par monts et par vaux ; L'épouvante se cramponne Du poing aux crins des chevaux. Et l'aube est là sur la plaine ! Oh ! j'admire, en vérité, Qu'on puisse avoir de la haine Quand l'alouette a chanté